Certains, on le verra, considèrent que la littérature ne peut exister sans la mise en danger de l’auteur. Quant à moi, jamais encore je n’avais envisagé que musarder chez les bouquinistes m’exposait au risque de l’addiction. Dues au hasard des rayons désordonnés, les trouvailles se conjuguent à la (...)