Novembre 2018 - Une avalanche de bonnes nouvelles !

par Nathalie Barrié

Novembre, déjà ? Il s’en est passé, des choses, en quelques mois ! Il semble même qu’il tombe autant de bonnes nouvelles que de feuilles des arbres ! Et si avalanche il y a, elle n’a rien à voir avec la neige…

En effet, nous avons appris avec joie que Marie Frering, dont nous avons chroniqué en décembre 2017 le recueil L’heure du poltron (Lunatique), a été récompensée par le prix Boccace de la nouvelle 2018. Notre boule de cristal « nouvelle-donnienne » semble en bon état de marche, puisque après Hervé Mestron, c’est donc le deuxième auteur distingué par nos chroniqueurs qui se voit récompensé en 2018.
Mais ce n’est pas tout. Voici trois autres bonnes nouvelles, cette fois internes à Nouvelle Donne : Corine Sylvia Congiu, notre fidèle illustratrice, également auteur de fiction, reçoit le premier prix Montarras des Jeux floraux pour sa nouvelle Fatima.
Notre chère présidente Anne Desicy Friedland, quant à elle, vient de publier un roman coécrit avec Anne Chanard : Le bonheur au travail (Les passagères), préfacé par Sylvain Bureau. Tout un programme, le bonheur au travail, mais pour être honnête, un tantinet oxymorique, vous ne trouvez pas ?
Enfin, une autre membre de notre équipe s’est illustrée par la publication, sous le pseudo Mariane Arkel, de Quatuor pour un chat errantaux éditions du Net, roman qui a participé à la Journée du manuscrit francophone, clôturée ce 24 octobre par un spectacle et une remise de prix au théâtre du gymnase Marie Bell, à Paris.

Alors, chers lecteurs, avalanche ne rime-t-elle pas avec pain sur la planche ? Mais que le vice impuni de la lecture, que nous sommes les derniers à vous reprocher, ne vous empêche pas de continuer à nous envoyer vos textes ! Gageons plutôt qu’il vous y incitera. Parmi vos nombreux envois, nous en avons choisi deux que vous pourrez prochainement déguster sur notre site : Les amoureux silencieux de Troy Demon et La rue d’Emmanuel Chevrier. Entre deux, se glissera sans doute L’ange de l’onde noire de Sally Ito, traduit par Jean-Marcel Morlat, qui n’a que trop attendu son tour.

Bonne lecture, donc, et… à vos plumes !