C’est la nouvelle saison, celle du sable qui colle aux fesses, de la canicule, de la soif (et) du roman de plage… mais au fait, pourquoi le roman seulement ? Pourquoi ne serait-ce pas aussi la saison de la « nouvelle de plage » ? En lire, bien sûr, les déguster, les gober une à une comme les olives (...)