Fantine pensa : « Mon enfant n’a plus froid. Je l’ai habillée de mes cheveux. » Le livre est resté ouvert sur mes genoux. Je relève la tête et je regarde par la fenêtre la nuit noire sur la banlieue calme. C’est l’hiver. On est à l’abri. À mes pieds, le chien soupire et mes enfants sont silencieux. (...)