Quand on s’apprête à lire la novella de Laurent Pépin, on sait déjà que l’on a entre les mains l’ouvrage d’un auteur subtil et j’ose même dire malin. Malin, dans toute la polysémie du mot. Avec ce que cet adjectif porte en lui de références à l’ingéniosité, à l’espièglerie, et donc à l’enfance, mais aussi (...)
