Les contrées infinies des rêveries amoureuses de M lui permettent d’oublier provisoirement l’espace limité de son logement d’étudiant vierge d’éléments décoratifs (« J’ai beaucoup meublé ma solitude, mais jamais au sens propre »), d’autant plus qu’un mur mitoyen mal isolé laisse deviner la présence d’une (...)