Le thème doit être à la mode, car récemment, le livre d’Anna Hope Le chagrin des vivants nous intéressait aux oubliées de l’après-guerre, les femmes privées de leurs maris, frères, fils, fiancés… tués au combat. Et voici que Pierre Bisbal, marchant sur les brisées de Pierre Lemaître et de quelques autres, (...)
