Une tête de vieille gitane maïs forcément, ça rassurait personne. Ma mère la première. Surtout que sa copine Pierrette lui avait glissé de l’avertissement, façon boule de cristal, avec horizon sur mon certificat de décès. Mais à seize ans, les histoires de teint ça passe après le reste. En plus, j’avais (...)