Theodorus Schuhl avait voué sa vie aux hippocampes. A dix-neuf ans, après les avoir rencontrés dans un illustré, il s’était mis à collectionner tout ce qu’il lui était possible de trouver sur ces petits poissons – traités de zoologie, gravures, dessins, encyclopédies, fossiles, spécimens. Avec le temps, (...)
