Vendredi 25 octobre Vacances de Toussaint. Dans le bus qui me ramène du lycée, nous ne sommes plus que trois ou quatre, la meute s’est dispersée au gré des arrêts, il ne reste que ceux des fins fonds, les terreux de la plaine. Cris et chamailleries ont cessé. Ne persiste que l’odeur des corps et, sur (...)