Azim est arrivé rue Baudelaire, à Paris. Il y a deux ans qu’il est parti et il tient le cylindre de fer entre ses doigts. C’est un véritable miracle qu’il ait réussi à ne pas le perdre. Ses doigts sont sales, abîmés par l’eau salée, les coups, un doigt a été cassé avant la traversée de la Méditerranée. Il (...)