C’est la même odeur, la même lumière d’après-midi qui inonde la pièce, je suis assis à la grande table, les mains posées sur la nappe de lin des jours de fête, rêche, presque cartonnée. La dernière fois que maman l’avait sortie de l’empilement de linges blancs de l’armoire du couloir, c’était quand le cousin (...)