« Le rail chantait sous la carlingue sa comptine obsédante et douce ». Rien que pour cette phrase, on a envie d’y être dans ce train, objet depuis toujours de tous les fantasmes, berceau des rencontres éphémères mais aussi vecteur de fuite, de rupture, d’exil… On a envie d’y être mais on sait bien que (...)