Le dernier-né de Brèves poursuit la ligne éditoriale de l’Atelier du Gué, à savoir proposer semestriellement une « anthologie permanente de le nouvelle », et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce numéro 111 est l’un des plus riches et des plus réussis. Ça débute très fort avec Rue du rendez-vous, une (...)
